Le 30 juin 2016
Retour en Malaisie pour clôturer en beauté ce fabuleux voyage
Halte sur l’île de Kapas dans la province de Terengganu
puis 2 jours dans la capitale dynamique de Kuala Lumpur
Notre voyage touche à sa fin
Nous avons décidé pour finir notre périple de nous échouer quelques jours sur une île déserte, sans trop de monde, à la cool mais avec le wifi pour mettre à jour le blog. Notre avion pour notre retour en France est à Kuala Lumpur. Nous ne voulons plus essuyer des pluies torrentielles qui stagnent au sud du Myanmar et enfin il nous reste plus que 7 jours avant le grand saut vers Paris.
Dans un premier temps, nous avions jeté notre dévolu sur les îles Perhentian au Nord-est de la Malaisie. Or les prix pratiqués sur ces îles dépassent notre budget et pour le côté désertique il faudra repasser d'après les échos de voyageurs en revenant. Nous avons entendu que, plus au sud, qu' il existe deux petites îles propices à la farniente et à la détente. L'île de Kapas et l'île Gem ont bonne réputation et leur saison touristique débute tout juste. Car elles sont fermées en saison des pluies mais très fréquentées le weekend par des locaux. Les îles se situent a à peine 20 kms de Kuala Terrenganu à 10 minutes du continent en bateau. Nous sommes en période de Ramadan, les hôtels sont ouverts mais il n'y a qu'un seul restaurant ouvert le midi proposant des plats européens sur toute l'île. Seule la côte Ouest de Kapas est aménagée. Les plages sont recouvertes de sable blanc très fin et les logements se fondent avec la végétation. Un petit chemin, certe en béton, permet de relier les différentes plages toutes somptueuses parfois inhabitées. Les hôtels ne sont pas nombreux et c'est bienheureux. Ils ont laissé des étendus vierges de sable réservées à la pontes de tortues marines. La plage située au Nord de Kapas donne en face de la petite île de Gem accessible facilement en Kayak.
Du Myanmar nous avons pris un vol pour l'île de Penang. Penang est située à l'Ouest alors que les îles Perhentian et l'île de Kapas à l'Est de la péninsule malaisienne. Comme nous sommes arrivés en début d'après midi, nous profitons pour prendre un bus de nuit pour rejoindre l'Est pour ne pas perdre de temps. Le chrono est lancé nous comptons nos jours de liberté.
Gaïa, Clotilde et Géraud Boursin Boiteux
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